Agora #5 avec Gilles Pinson
organisé par la mission de documentation des Halles en Commun :
Anne-Elisabeth Bertucci - Agence Aître et Territoires
avec Le collectif L'Oeilleton et L'EUR-CAPS.
organisé par la mission de documentation des Halles en Commun :
Anne-Elisabeth Bertucci - Agence Aître et Territoires
avec Le collectif L'Oeilleton et L'EUR-CAPS.
Pour cette 5ème édition de l'Agora, les Halles en Commun reçoivent Gilles Pinson.
Qu'est-ce qu'une ville néolibérale ?
Quelles sont les stratégies politiques de ces métropoles où la gentrification et la financiarisation du logement, repoussent les populations les plus précaires toujours plus loin de ses centralités ?
Dans son ouvrage « La ville néolibérale » paru en 2020, Gilles Pinson, politiste et enseignant à Sciences Po Bordeaux décrypte les ressorts d'un urbanisme où l'inclusion et le lien social laissent place à un modèle financier de la ville.
Ici aux Halles en Commun, nous nous interrogerons sur la contribution des pratiques de l'urbanisme transitoire à ces stratégies urbaines.
Quels sont les garde-fous à mettre en place dans ces processus qui se multiplient dans les métropoles sur les anciens sites productifs de la société post-industrielle ?
A l'heure d'une économie dite « collaborative » où le moindre coup de main se monétarise via la digitalisation des échanges, quelles sont nos marges de manœuvre citoyennes pour défendre une réelle alternative économique et sociale ?
Qu'est-ce qu'une ville néolibérale ?
Quelles sont les stratégies politiques de ces métropoles où la gentrification et la financiarisation du logement, repoussent les populations les plus précaires toujours plus loin de ses centralités ?
Dans son ouvrage « La ville néolibérale » paru en 2020, Gilles Pinson, politiste et enseignant à Sciences Po Bordeaux décrypte les ressorts d'un urbanisme où l'inclusion et le lien social laissent place à un modèle financier de la ville.
Ici aux Halles en Commun, nous nous interrogerons sur la contribution des pratiques de l'urbanisme transitoire à ces stratégies urbaines.
Quels sont les garde-fous à mettre en place dans ces processus qui se multiplient dans les métropoles sur les anciens sites productifs de la société post-industrielle ?
A l'heure d'une économie dite « collaborative » où le moindre coup de main se monétarise via la digitalisation des échanges, quelles sont nos marges de manœuvre citoyennes pour défendre une réelle alternative économique et sociale ?